Le nombre de citoyens de notre pays qui sont quotidiennement privés de leur permis de conduire ne diminue pas chaque année. Naturellement, tout conducteur ayant été privé de permis de conduire, la question se pose: « Est-il possible de les restituer plus tôt que le délai fixé par la décision de justice ? Il faut dire d'emblée qu'il est pratiquement impossible de le faire de manière légale, puisque le droit administratif ne prévoit pas de réduction de la période de privation des droits.
Instructions
Étape 1
Ne portez pas l'affaire devant une ordonnance du tribunal de forclusion. Il y a ici de nombreuses subtilités, mais toutes reposent sur le fait que le délai de prescription de la responsabilité est égal à deux mois à compter du moment où l'infraction a été commise, et si vous pouvez légalement retarder l'affaire avant son procès, alors dans tous les cas vous ne serez pas privé de vos droits.
Étape 2
Soumettez votre requête à un autre tribunal. Une des options pour retarder l'affaire est de déposer une requête pour l'examen de l'affaire devant un autre tribunal, mais pas à votre lieu de résidence (un tel délai d'affranchissement est exclu du délai de prescription), mais au lieu d'enregistrement du véhicule (la loi ne dit rien à ce sujet).
Étape 3
Retarder l'affaire, invoquant l'absence de notification de la nomination d'une audience du tribunal. Une autre option est la « notification inappropriée ». Le fait est que le tribunal n'examinera pas la question de la privation des droits si le défendeur n'est pas correctement informé de l'examen de l'affaire. Il y a beaucoup de nuances ici, et tout dépend de la façon dont le tribunal vous enverra une notification. La question de la notification est largement controversée et est toujours résolue différemment dans chaque tribunal. Vous devez donc vous fier à cette option avec prudence.
Étape 4
Déposez une requête pour reporter l'audience en raison de votre maladie. Mais il faut garder à l'esprit que le tribunal peut même ne pas accepter un certificat d'incapacité de travail. En règle générale, l'option est justifiée lorsque l'intimé est à l'hôpital.
Étape 5
Si vous n'êtes pas d'accord avec la décision du tribunal, faites appel à une autorité supérieure. Certes, la probabilité de résoudre la situation en votre faveur n'est pas grande, mais vous pouvez essayer. Vous aurez besoin de l'aide d'un avocat qualifié; dans ce domaine, il vaut mieux ne pas compter sur vos propres forces.
Étape 6
Recours contre le protocole sur une infraction administrative. Peu de policiers peuvent se vanter d'avoir des connaissances juridiques, c'est pourquoi on peut trouver partout des écrits de protocole inappropriés. Des violations peuvent survenir à la fois lors de l'élaboration du protocole et, en général, lors de la procédure d'arrestation. N'ignorez pas votre droit de recevoir une copie du procès-verbal. Cela peut jouer en votre faveur. Le protocole peut être considéré comme une preuve irrecevable, il n'y aura donc aucun corpus delicti dans vos actions.