Prochainement, il est prévu d'apporter des modifications à la procédure de réussite à l'examen du permis de conduire. Il a été décidé de compliquer les tests pour les futurs conducteurs, le système actuel étant reconnu comme obsolète et trop fidèle.
La partie théorique de l'examen subit les modifications suivantes: selon le nouveau projet de loi, chaque erreur de réponse entraîne cinq questions supplémentaires. L'examen sera considéré comme un échec si le candidat ne répond pas à 3 questions principales ou à 1 question supplémentaire. Il s'agit d'une mesure obligatoire, selon la police de la circulation, selon eux, 90% des conducteurs modernes connaissent très mal le code de la route, de sorte qu'ils les négligent. Le résultat est un grand nombre d'accidents sur les routes russes.
La partie pratique de l'examen ne reste pas non plus inchangée, et ici ils sont beaucoup plus sérieux que dans le bloc théorique. Au lieu des trois tâches obligatoires actuelles qui composent les tests d'examen, les futurs conducteurs seront invités à passer cinq tests pratiques. Un candidat de l'une des catégories (B, C, D) devra démontrer les compétences suivantes: la capacité de s'arrêter et de commencer à bouger en montant; faire demi-tour dans un espace confiné, en marche arrière; la possibilité de se garer en parallèle; faire des virages à angle droit. Pour les futurs motards (catégorie « A »), 9 tâches de la partie pratique seront obligatoires.
Le nouveau projet ne prévoit pas la possibilité de repasser les examens en cas d'échec. Peut-être que ce point ne sera pas approuvé par le ministère de la Justice, il est trop sévère vis-à-vis des conducteurs novices. Bien que, d'un autre côté, on espère que des mesures aussi dures contribueront à une attitude plus sérieuse envers la cause de ceux qui ont décidé de prendre le volant.
L'examen pratique est censé avoir lieu sur des autoroutes avec des intensités de trafic différentes. Il faut également ajouter qu'en 2010 les tentatives de la police de la circulation pour modifier les règles de passage des examens, les rendant indépendants du facteur humain, n'ont abouti à rien, le projet n'a pas été approuvé par le ministère de la Justice et le Parquet général..