Le QX80 est toujours une proposition « grande somme mais plus grosse voiture », surtout maintenant avec des remises. C'est sur le volume et sur la capacité: une fusion de dynamique, de prestige et de capacité de cross-country. Alliage lourd. Hélas, le vaisseau amiral d'Infiniti a aussi de l'appétit avec le préfixe "over"…
Il y a un insert en bois sur le volant, mais les mains tiennent le cuir tenace. La distance entre les sièges avant est énorme, le palier est haut. Les changements ne sont pas visibles, ils sont techniques: le QX80 freine désormais tout seul en cas de collision, même en marche arrière.
L'espace pour les jambes dans la deuxième rangée du QX60 n'est pas moindre et les sièges se déplacent longitudinalement, mais le QX80 est sensiblement plus large et les sièges ne sont pas si bas - en plus lors d'un long voyage. Même derrière la troisième rangée de sièges dépliée, il y a encore de la place pour les bagages.
Le QX60 susmentionné est un multisegment sept places de cinq mètres, qui est équipé d'un V6 à essence (3,5 litres, 262 ch) ou d'un hybride (compresseur "quatre" 2,5 + moteur électrique, 250 ch). Il est inférieur au QX80 en capacité de cross-country, mais le surpasse dans la transformation de l'habitacle.
Intérieur - 9, 0
Malgré quelques défauts (un million de boutons et une interface système multimédia imparfaite), l'intérieur mérite une note élevée. Dans n'importe quelle couleur, il donne une impression de luxe et d'excellence technique. Pour un SUV de cette catégorie, cela convient encore plus à la sobriété européenne.
Passagers - 8, 5
Les passagers (bien qu'on les voit rarement dans le QX80) n'ont rien à redire: climat, multimédia, porte-gobelets, habitabilité… sièges et la possibilité de commander des sièges de deuxième rangée séparés.
Note globale - 8, 5